Départ de Charles de Gaulle

Départ de Charles de Gaulle pour NagoyaDépart de Charles de Gaulle

Rendez-vous en matinée à CDG pour le départ, enfin j'y suis, content de partir mais sans être excité... peut être l'âge (rires). Le groupe se compose de 15 personnes, nous devions être 16 sur une totalité de 20 maximum.

Une personne est arrivée en retard suite à non réception du courrier de modification de l'horaire, dommage elle nous rejoindra le lendemain. Marilyne, notre guide, nous brief avant le départ histoire que dans un premier temps notre cerveau enregistre une première fois les informations sur le déroulement du départ et de l'arrivée à Nagoya. Nous sommes tous partis à l'heure, sans aucun retard et cela pour 12 heures de vol non-stop jusqu'à notre première destination Nagoya, située pratiquement au centre du Japon.

Une fois la valise enregistrée et après avoir passé les différents contrôles et validation, sitting à la porte 56 en attendant le départ. Une heure avant l'embarquement, j'ai le temps de faire quelques photos histoire de jouer avec mon appareil photo (Pentax K20D).

Photo de Charles de Gaulle

Une heure après le groupe se regarde mutuellement car tous les passagers du vol 56 sont montés sauf nous... je vais voir une des hôtesses qui me confirme qu'on nous a appelé, soit, ça commence bien... faut dire que son accent « Japoglais » est comme dire... heuuu... très ? trop ? Japonais...
Installés « confortablement » dans nos sièges respectifs et avec un décollage maîtrisé par notre commandant dont je n'ai pas compris ni retenu le nom vous m'en excuserez mais mes oreilles et mon cerveau ne se sont pas encore fait à cette langue atypique, je vais pouvoir commencer à prendre des notes et voir d'un peu plus près notre parcours sur les prochains jours.

Chose sympathique une caméra placée à l'avant de l'avion nous transmettais l'endroit où nous étions, c'est à dire la piste ! Ainsi nous avons pu suivre l'avancé et le décollage du 777, et lors de notre continuel montée une seconde caméra nous montrait notre pays sous un angle différent mais néanmoins connu depuis que via Internet nous pouvons voir les pays vus du haut, magnifique, bien que limité tout de même à une taille minime des écrans.
J'adore être au niveau du hublot, voir tous les reliefs, les nuages, le soleil, spectacle rare pour bon nombre d'entre nous, qui ne prenons pas l'avion si souvent que cela.

Stabilisé à +/- 10 600 m et une vitesse de +/- 1 000 km/h pour une T°-57°C (et oui nous dépassons la vitesse du son), nos charmantes hôtesses avec des tenues hybrides entre le kimono et le tablier, nous ont donné une mini serviette chaude pour les mains, très agréable, avant de recevoir notre premier repas japonais, mignon et bon, pour un repas d'avion.

Le parcours de l'avion se fait en ellipse en passant au dessus de Copenhague (entre autre) et direction le Japon pour notre première demi-journée, à Nagoya pour midi.